Cette nouvelle armée irakienne qui a réengagé de nombreux soldats de l'armée de Saddam, jusqu'au grade d'officier subalterne ; selon le décret de Paul Bremer, les militaires au grade de colonel ou un grade supérieur sont écartés d'office de toute fonction gouvernementale ou militaire[169]. nécessaire]. Elle y participe initialement sur décision du président du gouvernement José María Aznar, du Parti populaire (PP), tandis que José Luis Rodríguez Zapatero, du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), s'y oppose et s'engage à rapatrier le corps expéditionnaire s'il accède au pouvoir. Signaler un abus, Témoignages 6 rue du Général Emile Rolland BP 1016 - 97828 Le Port Cedex, Invasion du Capitole : « Révolution orange » et nouveau Maidan à Washington, Capitole envahi par des pro-Trump : « Ce n’est pas une manifestation, c’est une insurrection », dit Joe Biden. Il insiste : « chacune des déclarations que je fais aujourd’hui s’appuie sur des sources, des sources solides ». Cette décision a laissé des centaines d’affaires irrésolues[206]. Cela se manifeste par des manifestations, une augmentation du nombre d'attaques terroristes islamistes (principalement dans le monde musulman et en Irak mais aussi en Europe et notamment France dans les années 2010) et du nombre de prise d'otages d'Occidentaux (ou de ressortissants des pays qui ont fait partie de la Coalition). Cette annonce a été faite à la suite de la réouverture d'un examen préliminaire rouvert en 2014. Saddam a été éliminé parce qu'il voulait facturer son pétrole en euro et non plus en dollars ! Mais ces éléments sont contestés par beaucoup d'analystes, journalistes. Selon lui, les inspecteurs « doivent pouvoir agir n'importe quand et n'importe où pour permettre aux inspections de répondre aux normes fixées par le Conseil de Sécurité »[48]. Établir le plus rapidement possible un gouvernement de transition (gouvernement provisoire irakien) qui désignerait dans le peuple un gouvernement démocratique représentatif de toutes les communautés irakiennes (chiites, sunnites et kurdes), capturer les membres du parti Baas et les juger, renverser le régime dictatorial mis en place par Saddam Hussein et sa famille et affecter les biens (palais, argent…) saisis à ceux-ci pour la reconstruction des infrastructures détruites lors de la guerre. Face à cette menace, les Irakiens avaient massé à l'ouest de Bagdad onze divisions de l'armée régulière irakienne et deux divisions de la Garde républicaine[réf. Du côté de la coalition, on dénombre une centaine de morts, mais de nombreux soldats sont contaminés suite à l'utilisation d'armes chimiques. Rendant ses conclusions en septembre 2004, l'Iraq Survey Group a déterminé avec une quasi certitude qu'aucune arme chimique n'avait été découverte ou détruite[81]. Selon le magazine Raids[167], en mai 2006, on dénombrait dans les forces armées des États-Unis : Les pertes matérielles sont dues aux faits de guerre et accidents, mais aussi aux conditions d'utilisation (poussière, chaleur). » Ce discours, qui précède celui de Jacques Chirac à la télévision américaine le 16 mars 2003, marquera le début d'une campagne antifrançaise menée par plusieurs membres du parti républicain, qu'illustrent bien les Freedom Fries, renommées ainsi en lieu et place des French Fries[60]. Toutefois, la violence contre les forces de la coalition a rapidement conduit à une guerre asymétrique impliquant plusieurs groupes d'insurgés, des milices, des membres d'Al-Qaïda, l'armée américaine et les forces du nouveau gouvernement irakien. Les personnes sondées ont attribué la mort de leurs proches aux forces de la coalition dans 35 % des cas et aux groupes insurgés dans 32 % des cas[156]. 355 milliards de manque à gagner pour l'économie lié aux décès, invalidités, différentiels de coûts des achats liés à la guerre…. Malgré l'adoption de la résolution, il n'y a pas eu de retour des inspecteurs en désarmement ni de changement dans le programme humanitaire. Parallèlement aux bombardements aériens, trois divisions de l'US Army, la 1re force expéditionnaire de Marines américaine (I Marine Expeditionary Force[74] de l'US Marine Corps et la 1re division blindée britannique[75] de la British Army, comptant 100 000 hommes de troupe et des milliers de blindés sous le commandement de l'United States Central Command stationnés au Koweït, entrent dans le pays essentiellement par la frontière sud et affrontent trois des dix-sept divisions de l'Armée régulière irakienne (chaque division irakienne étant d'une force militaire équivalente à un régiment de la Coalition[note 1], soit à un Régiment mécanisé en combat rapproché[note 2], soit à un Régiment d'infanterie légère[note 3][réf. Partager : Tweet; Les chiffres de l’échec donnent le vertige. L'arrestation de Saddam Hussein par l'armée des États-Unis, aurait cependant, pour certains observateurs sur place, permis à une plus large part de la population de ne pas avoir peur de représailles et de rentrer dans les rangs de la guérilla qui se disent persécutés [réf. Seuls les journalistes embarqués avaient directement accès au front, et leur neutralité a été mise en cause pour des raisons psychologiques et d'indépendance. Le mouvement a été particulièrement intense en Europe, où, selon les sondages, entre 70 et 90 % de la population était opposée à cette guerre. Le 18 décembre 2011, les forces américaines achèvent leur retrait du pays[14],[15]. Cité dans Aline Leclerc, « Le "New York Times" appelle au retrait des troupes américaines en Irak », États-Unis : Plusieurs manifestations contre la guerre d'Irak, dans, « Cinq ans après l'invasion de l'Irak : Bush ne regrette rien », dans, « Chiites et sunnites unis contre les violences », dans. Culture. En somme, 53 % des personnes interrogées jugent que le conflit n'en valait pas la peine. Le 8 novembre 2002, les 15 membres du Conseil de sécurité des Nations unies votent la résolution 1441 qui stipule que si Saddam Hussein manque à ses obligations en matière de désarmement, il en découlera de « graves conséquences »[50]. Placer des troupes alliées et des bases en permanence sur le sol irakien pour ainsi avoir un contrôle sur le golfe Persique, montrer au monde que les occidentaux sont toujours les plus forts et qu’ils peuvent agir efficacement et rapidement, libérer des prisonniers de guerre retenus en Irak. Des routes, des centrales électriques, et des centres de communications sont détruits. Pourtant la qualité de la vidéo de l'exécution est mauvaise, et Zarqawi est censé porter une jambe de bois à la suite d'un accident, selon ces mêmes experts, ce qui n'est pas le cas sur la vidéo. Donc, même si des erreurs ont été commises ici ou là, elles ne sont pas sérieuses. Entre l'invasion de l'Irak en 2003 et 2011, plus de 5 000 munitions chimiques pour l'artillerie et l’aviation datant d'avant 1991 ont été découvertes dans le pays ainsi que plusieurs tonnes de divers produits chimiques, la moitié environ en 2006[57],[58]. Au cours du mois de juin 2003, l'armée américaine, qui subit de nombreuses attaques de la part de la rébellion civile irakienne et de groupes terroristes, lance une opération nommée « Scorpion du Désert (en) », essayant de prendre le contrôle du pays. Néanmoins, ce n’est pas l’avis de tout le monde. nécessaire], l'un des deux fils de Saddam Hussein. Le 15 septembre 2004, l'armée américaine relâche 275 détenus de la prison d'Abou Ghraib. Le 1er décembre 2008, dans un entretien donné à la chaîne de télévision ABC News, le président Georges W. Bush a reconnu, concernant les armes de destruction massives, que « Le plus grand regret de toute cette présidence consistera dans la défaillance du renseignement en Irak. Pour l'IFRI, en septembre 2005, « la cause religieuse l'emporte sur la cause nationale[200]. Je vous ai déjà dit que les terroristes peuvent aller à leur gré dans n’importe quel pays, même en … Aux États-Unis, 25 % des sans-abris sont d'anciens militaires[168]. Les anciens inspecteurs étaient en effet accusés de profiter des inspections pour recueillir des renseignements en Irak, l'Irak n'aurait pas son mot à dire sur la nationalité des inspecteurs, et Blix a précisé que « exclure la participation des États-Unis était exclu ». Alors tout le monde répond: ‘Montrez-moi une menace immédiate de l'Irak pour l'Amérique. Elle se manifeste particulièrement dans certains restaurants où les frites, appelées usuellement « French Fries », sont renommées «. La Croix-Rouge s’attend à ce qu’un million de personnes supplémentaires essaient de quitter l’Irak à cause des combats et des attentats. On assiste à un exode vers l'étranger de centaines de milliers de chrétiens syro-chaldéens pour échapper à la mort. Plusieurs films ont pour sujet la guerre d'Irak : Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les anciens combattants Ce conflit permettrait également à beaucoup d’entreprises européennes et américaines de profiter du pétrole irakien, prendre le contrôle des puits de pétrole du 4e détenteur de réserves ; il s'agirait donc d'une raison motivée par les analystes de la géopolitique du pétrole. Résolution 1441 du Conseil de Sécurité, 8 novembre 2002. Guerre d'Irak : comment tout a commencé il y a dix ans. », CRS Reports for Congress, « Pour des raisons bureaucratiques, nous nous sommes concentrés sur la raison principale, à savoir les Armes de Destruction Massive, parce que c'était celle que tout le monde acceptait mais... il y a toujours eu trois arguments principaux. nécessaire]. Le 28 juin 2004, Paul Bremer, administrateur d'occupation, transmet la souveraineté au gouvernement intérimaire irakien, deux jours avant la date prévue, afin d'éviter les attentats. Ils ont un rôle d’assistance et de formation auprès des soldats et des policiers irakiens, mais ne seront pas directement impliqués dans les opérations de maintien de l’ordre. v Le 8 mars 2002, Kofi Annan, le secrétaire général des Nations unies rencontre le ministre irakien des Affaires étrangères afin de négocier le retour en Irak des inspecteurs en désarmement. ÉTATS-UNIS, crise irakienne Les vraies raisons de la guerre en Irak L'administration Bush est plutôt mal à l’aise après les surprenantes confidences du numéro deux du Pentagone sur l’Irak. Selon l'IBC, les violences ont atteint leur pic fin 2006, avant de commencer à baisser à partir de fin 2008[146]. Une colonne de camions a fait également le trajet, avec le matériel le moins lourd. L’ONU n’était pas tombé dans le panneau et privilégiait une issue négociée à la crise suscitée par Washington. Il fallait trouver un prétexte pour déclencher la guerre. Le 12 janvier 2005, le porte-parole de la Maison-Blanche, Scott McClellan, annonce la fin de la mission américaine de recherche d'armes de destruction massive en Irak, sans avoir trouvé trace d'armes prohibées[réf. Dans Repenser le réalisme. Pour concentrer ses forces dans la lutte contre le coronavirus, la France, comme d’autres pays, a décidé de retirer ses troupes d’Irak. De nombreuses associations américaines, pour la plupart hostiles à la guerre, suivent de près l'évolution des surcoûts liés à la guerre. Dans ce contexte difficile (ouragan Katrina) pour George W. Bush, un sondage Gallup montrait que 63 % des Américains voulaient le retour des soldats dans leur pays. La résolution a été adoptée avec 11 votes pour, et 4 abstentions dont trois membres permanents sur les 5 du Conseil de Sécurité : L'Irak a rejeté cette nouvelle résolution, principalement parce qu'elle ne respecte pas les conditions pour la levée des sanctions imposées depuis 1990[46]. nécessaire]. nécessaire], alors qu'elles avaient certainement la possibilité de tenir encore plus longtemps. Les champs pétrolifères du sud sont préservés, le contrôle aérien est effectif, les forces américaines sont déployées à cinquante miles de Baghdad. 1 Much of this report will deal with the 2003 war against Iraq. L'Irak réplique en envoyant sur le Koweït, à partir d'une vedette rapide de fabrication soviétique dissimulée dans le littoral, plusieurs missiles anti-navires HY-2. Il se justifie notamment en expliquant que Ben Laden n’aime pas le sécularisme de Saddam Hussein[30]. Le bureau de la procureur indique que les déclarations individuelles victimes obtenues peuvent être considérées comme valides si elles sont validées par des documents datant de la période du conflit. À partir de la mi-2009, les forces américaines ne patrouilleront plus dans les rues[116]. Les rapports font état d’une bonne entente entre Al-Qaeda et l’Irak, mais aucun ne laisse paraître la preuve d’une collaboration entre eux pour s’attaquer aux intérêts américains[38]. La guérilla irakienne est menée côté sunnite, principalement par l'Armée islamique en Irak, par les baasistes de l'Armée des hommes de la Naqshbandiyya et par les djihadistes d'Al-Qaïda en Irak qui forment en 2006 l'État islamique d'Irak. Les inspecteurs de l'UNSCOM quant à eux débutent leurs inspections le 9 juin 1991. nécessaire][76][réf. nécessaire]. Le troisième argument en lui-même est une bonne raison d'aider les Irakiens, comme je l'ai souligné précédemment, mais ce n'est pas une bonne raison de risquer la vie de jeunes Américains. Emprisonnement d'autres personnes sur simple dénonciation, vengeances personnelles, etc. Selon des révélations de l'ancien secrétaire au Trésor Paul O'Neill, reprises par le journaliste Ronald Suskind (The Price of Loyalty), le Conseil national de sécurité de la Maison-Blanche discutait un Plan pour l'Irak après Saddam dès le mois de février 2001, soit quelques semaines après l'arrivée à la présidence de G.W. C’est l’attentat le plus meurtrier depuis le début de la guerre lancée par le gouvernement américain et ses alliés dans la région. Une douzaine a été capturée le 21 juillet 2003 par les forces américaines. nécessaire], et les onze autres au Kurdistan[réf. « Aujourd'hui [fin novembre 2008], après une enquête indépendante, j'évalue le coût global de la guerre en Irak à 3 000 milliards de dollars », « Il est temps pour les États-Unis de quitter l'Irak, sans plus de délai qu'il n'en faut au Pentagone pour organiser un retrait méthodique, Une division blindée de l'armée régulière irakienne « type 2003 », équipée en moyenne d'environ 120 chars moyens, Une division mécanisée de l'armée régulière irakienne « type 2003 », équipée en moyenne d'environ 40 chars moyens, Une division d'infanterie de l'armée régulière irakienne « type 2003 », composée de l'équivalent de trois, Une division blindée de la Garde Républicaine « type 2003 », équipée en moyenne d'environ 120 chars moyens, en utilisant intelligemment le réseau très dense de canaux - utilisés comme fossés anti-chars - de cette agglomération, qui a la particularité d'être incontournable, La Garde républicaine n'a apparemment pas cherché à tirer profit du réseau dense des très larges canaux d'irrigation situés au Sud de. Il fait défiler des photos de camions présentés comme des prototypes de laboratoire mobile de recherche biologique (en) (sur la base des faux renseignements de « Curveball », ingénieur chimiste irakien à l’origine d’une des plus grandes supercheries de l’histoire du renseignement[62],[63]), des photos satellites d’usine d’armes chimiques et de bunkers, l’enregistrement d’une conversation entre des officiers de la garde républicaine irakienne qui parlent d’« agents neurotoxiques » et présente finalement un flacon de poudre blanche : de l’Anthrax. Ses objectifs sont multiples. nécessaire] affirmeraient qu'il aurait été à l'origine, ou couvert, [réf. Mais l'Iraq Survey Group (ISG) déclara en 2004 qu'il n'y avait plus aucune production d'arme chimique depuis 1991, ni aucun programme en cours en vue d'en obtenir de nouvelles (voir plus bas), et que seules ont été alors collectées dans tout le pays 500 munitions abandonnées ou oubliées et dans un état dégradé, datant de la guerre Iran-Irak[19],[20],[21],[22]. Les 21 universités irakiennes comptent environ 250 000 étudiants. La dernière unité de combat présente en Irak, la 4e brigade de la 2e division d’infanterie, a quitté le pays la nuit du 18 au 19 août 2010 par la frontière koweïtienne. Au début de l'année 2017, le gouvernement britannique a supprimé l’organe chargé d’enquêter sur les accusations de violation des droits de l’homme par les soldats britanniques en Irak. Le Costa Rica, initialement inclus, est enlevé après la décision de la Cour constitutionnelle invalidant le soutien apporté par le Président Pacheco[67]. Le 2 août 1990, l'Irak, dirigé par Saddam Hussein, envahit le Koweït, petit État pétrolier du Golfe arabo-persique. Depuis 1990, 40 % des professeurs parmi les mieux formés ont quitté leur pays et depuis vingt ans les universités et centres de recherche irakiens sont isolés de la communauté scientifique internationale. Hans Blix, le 27 janvier 2003, a affirmé dans son rapport que les inspecteurs de l'ONU avaient découvert, fin 2002, que l'Irak de Saddam Hussein produisait du gaz VX ainsi qu'un gaz proche du gaz moutarde, le thiodiglycol ainsi que des missiles balistiques tactiques[réf. Cette guerre est la suite de celle de 1990 et 1991 quand l'Irak avait envahi le Koweït, se mettant ainsi l'ONU à dos. L'estimation basse est alors deux fois plus élevée que celle d'IBC pour la même période[2]. Certains analystes pensent que des rebelles veulent ainsi empêcher toute aide aux forces d'occupation étrangère de la part de leurs concitoyens. Le nombre total de personnes déplacées à l’intérieur de l’Iraq et du Yémen atteint 6,5 millions ; en Libye, environ 435 000 personnes ont été déplacées, dont 300 000 enfants. Dans les mois qui avaient précédé l'invasion, les forces de la Coalition avaient fait courir le bruit d'une possible vaste opération aéroportée qui, depuis le désert irakien situé près de la frontière jordanienne aurait, aurait pu conduire une offensive sur Bagdad en passant par Falloujah ; en réalité, cette opération, demandant des moyens très importants, en particulier au niveau de la Logistique, et très risquée si les Irakiens avaient décidé de mettre en place des troupes sur les aérodromes qui auraient dû dans ce cas être utilisés par les forces de la Coalition, ne semble jamais avoir été réellement planifié, et les Irakiens ne semblent pas y avoir réellement cru[réf. L’expansion de ce groupe terroriste a contribué à la plus grave crise migratoire depuis la Seconde guerre mondiale. Les conséquences de l’invasion de l’Irak par les États-Unis. Faire la paix par la sécurité collective : l’ONU sous Kofi Annan. Mais la situation va se détériorer rapidement après l'attentat contre le sanctuaire Al-Askari, lieu sacré chiite de Samarra, le 22 février 2006, point de départ d'une guerre interconfessionnelle entre chiites et sunnites[11],[12]. Économie. Le 15 avril 2002, le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld a dit douter que de nouvelles inspections permettent de lever les doutes sur les programmes d'armes de destruction massive de Saddam Hussein. Cette allocation budgétaire était de 213 milliards en septembre 2013[181]. Le Département de la Défense a dépensé en juillet 2017 un total de 770,5 milliards de dollars pour les opérations dans ce pays[180]. La résolution stipule qu'il pourra demander le départ de la coalition, mais celle-ci peut toujours intervenir à chaque fois qu'elle l'estime nécessaire. Elle lance de nouveaux bombardements aériens contre le PKK en Irak en août 2011[135], en octobre 2011[136], en février 2012[136] et en juillet 2015[137]. Les journalistes ne peuvent détenir d'armes, du matériel pornographique ou des boissons alcoolisées lorsqu'ils sont incorporés dans une unité ou font des rapports, les badges de sécurité du personnel du MNF-I ne peuvent être filmés. guerre et ses conséquences tragiques chez les opposants à cette ... 2 Etats européens et guerre d’Irak l’Angleterre, l’Espagne et l’Italie, ainsi que leurs dirigeants Jacques Chirac, Gerhard Schröder, Tony Blair, Jose Maria Aznar et Silvio Berlusconi. Une liste partielle est disponible à l'adresse, Jean-Louis Turlin, « Bavures en Irak : le mea culpa de George Bush et de Tony Blair » dans. Après trois semaines de combats, les États-Unis renoncent, officiellement devant les pertes civiles. Les conséquences de l’invasion de l’Irak et le terrorisme Le coût d’une décision prise voici 13 ans ... C’est l’attentat le plus meurtrier depuis le début de la guerre lancée par le gouvernement américain et ses alliés dans la région. Après avoir lancé une offensive en Afghanistan, lieu où Oussama Ben Laden se serait réfugié après les attentats du 11 septembre 2001, et suspectant des liens entre le régime irakien et les terroristes d'Al-Qaïda, George W. Bush charge Donald Rumsfeld et Tommy Franks de constituer un plan d'attaque contre l'Irak. Hier, le nombre des victimes a été réévalué. De nombreux efforts ont été mis en œuvre pour localiser et détruire les armes chimiques irakiennes. Les dernières poches de résistance armée n'ont alors pas tardé à tomber. Dès janvier 1991, la guerre commence : c'est Plusieurs sont libérés en 2009[140]. On le voit fatigué, avec une longue barbe. Fayard, 2008) - Une livre de Joseph Stiglitz et Linda Bilmes. nécessaire]) et ne disposant pas d'une logistique leur permettant de se déplacer à plus de quelques dizaines de kilomètres de leur garnison [réf. Les travaux de diplômes en histoire par exemple se limitent souvent à un listage d’événements historiques. Beaucoup de sociétés américaines se sont enrichies grâce aux contrats engendrés par l'intervention militaire (telles que, 389 milliards de frais de fonctionnement pour les opérations futures, 127 milliards pour les indemnités et pensions des anciens combattants. Les chiffres officiels font état de 470 morts et 1 200 blessés, parmi lesquels 243 femmes et 200 enfants, mais plus de 1 350 morts (sans distinction subtile entre « insurgés » et « civils »)[102] et/ou de 4 000 à 6 000 civils tués selon d'autres sources[106] (nombre de blessés inconnu), et 106 morts du côté de la coalition, au 23 décembre 2004[102]. En décembre 2013, la situation dégénère et des tribus sunnites se soulèvent dans la province Al-Anbar. Hans Blix a expliqué que son approche consistera à placer la « charge de la preuve » sur l'Irak. Installation d'un gouvernement provisoire irakien (sous la tutelle de Paul Bremer, proconsul américain, administrateur général et civil de l'Irak) choisi par la coalition qui a pour objectif de réorganiser la politique irakienne et d'introduire un gouvernement « démocratique » comprenant des membres des divers groupes ethniques en Irak (les chiites, sunnites et Kurdes).